vendredi 16 octobre 2015

MACE SCARON me fait pèter les plombs...


MACE SCARON l'acronyme MACRON casé
« La France est en fermentation : donnera-t-elle du vin ou du vinaigre ? » s’interrogeait le philosophe Georg Christoph Lichtenberg, contemporain de la Révolution française. Nous en sommes là. Deux responsables d’Air France photographiés torse nu et chemise déchirée escaladant péniblement un grillage comme s’ils fuyaient un lynchage. Ces images ont frappé les esprits, et pas seulement dans l’Hexagone, et nourri durant plusieurs jours d’abondants commentaires. Il en est toujours ainsi quand à la physique s’en adjoint une autre, plus pernicieuse, plus létale, la violence symbolique. Dénuder en public un être humain, quels que soient les torts que l’on ait à lui reprocher, c’est porter atteinte à ce qu’il est, à sa dignité, de façon bien plus décisive qu’un coup de poing ou un nom d’oiseau. Ce n’est pas la seule chemise que l’on arrache ici, mais c’est aussi des personnes que l’on malmène dans leur intégrité physique et psychique, et le fait que ces dernières appartiennent à une bourgeoisie dirigeante n’autorise nullement à s’exempter de tout scrupule. Avant d’être le signe de l’oppression de classe, le col blanc recouvre un corps respectable comme tel, et s’interroger sur les violences qui peuvent lui être infligées ce n’est heureusement pas renoncer à toute dénonciation de la démesure du néocapitalisme contemporain. »

Ainsi donc s’exprime le directeur de la rédaction de « Mariane » par ailleurs chroniqueur sur i télé en duo avec Y.Treat du Figaro, j’ai nommé monsieur Macé- Scaron
Je vous laisse le soin de parcourir l’article en entier ( c'est la ) pour apprécier ce monument de connerie jusqu’àu bout...

jeudi 15 octobre 2015

Thomas LEGRAND ( France inter ) nous éclaire de sa grande sagesse...


"Débats à gauche sur les violences à Air France... par franceinter

Pas si grand que ça notre Legrand matinal sur ce coup là.
Chaque jours ouvré, la radio publique, France Inter, ici, nous délivre invariablement la messe libérale de Dominique Seux, après, le prêche consensuel du révérend Thomas Legrand.
 Quelqu'un de censé pourrait objecter que, dans une matinale de la radio publique, donc d'un service public, on  ne puisse pas donner la parole dans la dite matinale, à des opinions différentes, c'est fort de café et bien non?
A France inter on s'en fout...toute la semaine, on les supporte et pour Thomas ça fait un bail!
L'idéologie dominante, celle de la classe dominante doit être répétée, martelée sans cesse, sur la radio de  service public, à l'identique comme dans les média privés, vous savez ceux très, très objectifs qui appartiennent tous à de grands capitaines d'industrie et comme nous le savons ces média ont bien besoin du relai de la puissance publique.